Le premier acte s’ouvre sur la
chanson « la valeur de π », qui rend hommage à ces travaux. Il se
poursuit sur un dialogue entre les personnages, qui pointe avec humour
les failles d’une preuve finalement
moins évidente qu’il n’y paraît, surtout avec les outils de l’époque.
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Le deuxième acte raconte la plus célèbre : la formulation du principe quantitatif de la Poussée d’Archimède.
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Le troisième acte se déroule sur fond du siège de Syracuse par les romains pour lequel Archimède s’illustra par son ingéniosité.
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Ce dernier acte présente
avec humour et affection notre vision personnelle du savant, à travers
la légende entourant sa mort, qui le fait apparaître comme un
personnage passionné et un peu lunaire ; en somme, un geek.
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